Comme presque chaque électeur socialiste que je rencontre ces jours-ci, je me suis posé beaucoup de questions et je ne m’en prendrai pas à celles et ceux qui s’apprêtent à voter pour Emmanuel Macron, avec le même souci qui est le mien d’éviter, quoi qu’il en coûte, la victoire de l’extrême-droite.
Je choisis la fidélité à mes engagements, je choisis le candidat qui est dépositaire de la longue histoire du socialisme démocratique, de ses combats pour la justice sociale, le progrès et les libertés, y compris ceux conduits durant le quinquennat de François Hollande.
Sans faire fi de l’imprévisibilité du paysage politique, je suis et je reste socialiste. Le dimanche 23 avril, je vote pour Benoît Hamon.